MONARCHIE OU REPUBLIQUE

Bonjour chers amis,

Vous avez peut-être vu le reportage de TF1 sur Louis XX dont nous avions fait la promotion indirectement. Quelle erreur et naïveté de notre part !

Comment un service public ou ce qui lui ressemble ‘diablement’ en l’occurrence aurait-il pu faire preuve d’honnêteté intellectuelle quand il en va de la survie du système (dont certains syndicalistes de la police affirment qu’il ne tient plus que grâce à eux !) ?

L’amalgame avec l’Action Française est intolérable et sournois mais pas vraiment surprenant car c’est une façon subtile d’anesthésier le concept de la légitimité et ce qu’il représente et que les français ne doivent surtout pas comprendre des fois que cela leur donnerait des idées de changement.

Comme on ne peut pas passer sous silence cette date mémorable du 21 janvier 1793 dans l’histoire de France on évoque la question une fois l’an tout au plus car la monarchie pour la république c’est le mal absolu, un tabou. On s’efforce alors de ‘déligitimer’ toute opposition aux valeurs fumeuses de la ‘gueuse’. Les légitimistes sont des doux rêveurs mais sentent aussi le souffre (cf Action Française) et sont assimilés à l’extrême droite.

Lisez le commentaire fort pertinent du Cercle d’Union Légitimiste de Normandie sur sa page facebook qui nous semble bien résumer un marché de dupes.

On apprend également d’une autre source (20 minutes) que les ‘antifas’ à Carcassonne n’ont pas supporté qu’une messe soit dite pour le roi. Les antifas sont donc bien les nervis du système en place.

Belle intolérance aussi envers nos morts les plus dignes de respect !

ALORS SIXIEME REPUBLIQUE OU RETOUR DU ROI?

Vive le Roy !

ARTICLE PARU DANS 20 MINUTES

La basilique Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, joyau de la cité de Carcassonne, a accueilli samedi en fin d’après-midi une messe en l’honneur de Louis XVI. Quatre jours après la date anniversaire de l’exécution du roi, le 21 janvier 1793, l’ambiance n’était pas vraiment au recueillement devant l’édifice. Selon L’Indépendant, une douzaine de jeunes royalistes ont fait face à une vingtaine d’antifas, situés à l’autre bout du spectre politique.

Après un échange d’invectives, une chaise envoyée par un membre de l’Action française aurait lancé les hostilités avec des blessures sans gravité dans chaque camp, indique le quotidien régional. Les forces de l’ordre sont arrivées après la bagarre.

Des débordements déjà redoutés

Leur venue était déjà prévue car une marche aux flambeaux des monarchistes, programmée après la cérémonie religieuse, laissait craindre des débordements entre les deux camps.
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